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2 décembre 2010 4 02 /12 /décembre /2010 18:43

deathsuper.jpg

Cette avec une grande tristesse que je m’aperçois que j’écris toujours dans les moments difficiles de ma vie. Je ne cherche pas à trouver une solution pour mettre à plats mes problèmes car on a tous des problèmes. Mais à partir du moment où l’on a un putain de problème qui est indépendant de notre volonté : ca fait toujours plus chier qu’autre chose.

 

J’ai toujours soutenu le fait que je pouvais avoir des supers pouvoirs et cela même après avoir vu le film « Kick Ass ». On dit bien souvent : « on ne naît pas héro mais on le devient ». Alors pourquoi n’en serait-il pas de même pour devenir un super héro ?

 

Je n’ai pas réellement de réponse claire et précise à apporter sur le sujet, mais une chose est sûre, c’est que je commence sérieusement à douter d’avoir des supers pouvoirs.

 

Depuis tout petit, on a un système éducatif qui te pousse à toujours te rabaisser en ayant pour seul motif que l’on peut mieux faire. C’est vrai, on peut toujours mieux faire, sinon autant dire que le mot « progrès » n’aurait pas ça place dans le dictionnaire.

 

Alors disons qu’en ce moment… Euh…:/

 

J’essaye de faire au mieux pour réaliser plusieurs choses : me faire un cinéma avec un de mes meilleurs amis, aider un autre ami à sortir la tête de l’eau car il a besoin de soutien, aider ma copine à ce que son futur anniversaire se passe bien, réaliser le gala de cérémonie de remise des diplômes pour mon école, passer des entretiens pour dégoter un stage de fin d’année pour avoir le diplôme d’ingénieur, répondre à la demande d’un projet scientifique et développement durable en entreprise pour mon école, rédiger un rapport du projet, faire une présentation du projet.

 

Moralité, je n’ai pas de date à annoncer à mon meilleur ami pour le ciné et je me prends limite la tête avec lui, j’ai toujours pas eu le temps de voir mon autre ami pour lui dire que « putain je suis là vieux si cela ne va pas », je me suis pris la tête avec ma copine, j’ai foiré mon rapport sur le projet scientifique et ma présentation de ce dernier, avec en cadeau bonus, je récupère un collègue de promo qui semble être perdu suite à la remise en cause de notre travail par, autant le dire clairement, deux pauvres touristes de formateurs.

 

Alors je me dis que face à ce constat d’échecs en moins de 3 jours, si j’avais des supers pouvoirs : je pense que je serais le premier au courant !

 

Et oui, la vie n’est pas toujours si facile, il y a des problèmes plus graves, mais comme dit précédemment : quand t’as des problèmes ça fait toujours plus chier qu’autre chose.

 

Ce qui malheureusement ne fait jamais avancé quoi que ce soit.

 

Sur ce, je vous laisse, j’ai une commission à faire.

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26 août 2010 4 26 /08 /août /2010 10:37

http://7e.img.v4.skyrock.net/7e8/leguideduboulet/pics/611379146.jpgBonjour à tous !

 

Bienvenue dans votre guide utilisateur d’ingénieur boulet ! Aujourd’hui, nous verrons méthodiquement comment faire du mode boulet un art : Wahoouu !!

 

Il faut avant tout une belle journée d’été, de préférence la dernière, celle qu’on négligera de toute manière car c’est la dernière. En effet, on ne s’est pas occupé d’organiser ses vacances en amont, autant dire qu’on l’a dans le cul : Ce guide s’adresse donc à tout le monde !

 

Prenons par exemple une piscine autoportée avec une pompe filtrante. Vous souhaitez la nettoyer et donc pour cela il faut respecter plusieurs étapes. En premier lieu : utiliser l’épuisette pour virer toutes les saloperies résiduelles venues se noyer dans l’eau de votre superbe piscine hors-sol. Deuxio : passer un coup de balais brosse pour virer toutes les merdes qui se sont incrustées dans le fond de la piscine. Puis pour finir, mettre en fonctionnement la pompe filtrante histoire d’avoir une eau bien propre au bout d’un certain moment d’utilisation (tout dépend de la vie micro subaquatique que vous avez crées à votre insu).

 

C’est là où tout se complique ! Quelque soit votre quotient intellectuel, je vous l’assure et confirme : ne pas toucher à la pompe !!! En effet, l’ouvrir ne fera que créer une putain de fuite d’eau abondante. Mais vous vous dites surement que cela n’est pas grave : PUTAIN D’ERREUR DE MERDE !!! Il y aura en fait trop de pression pour pouvoir refermer correctement la pompe… Du coup… bah ça fuit. HA HA ! Là on se sent très con.

 

La solution de qu’il fallait entreprendre était avant tout de lire la notice où plus facile encore : lire les consignes sur la pompe. Cette dernière même en plusieurs langues : NE PAS OUVRIR EN FONCTIONNEMENT !

 

Pour être un bon boulet, il faut bien MAL refermer la pompe (Paradoxe certes, mais dans les faits, en regardant votre connerie sous tous les angles cela continue de fuir). Une méthode simple et efficace pour mieux refermer votre connerie : l’utilisation d’un petit marteau pour particulier vous aidera à casser le capot de protection plus que de le remettre correctement.

 

Nous y sommes ! Vous un êtes maintenant un putain de boulet avec une pompe complètement inutilisable ! Mais ne vous décourager pas, à chaque problème une solution. L’ingénieur qui sommeil en vous se dit : « Je vais regarder sur le net pour en racheter une autre » (et de surcroît le même modèle, histoire de ne pas être encore plus dans la merde qu’avant). GOOGLE devient votre ami le temps d’une après midi, voir même d’une matinée (tout dépend de comment vous gérez internet).

 

Après quelques temps à surfer sur le net plutôt que dans votre piscine : vous trouvez enfin votre bonheur que vous vous empressez d’acheter (surtout quand ce n’est pas la pompe de VOTRE piscine que vous avez cassé). Fier de votre achat, vous vous dites : « Youhouuu ! Je suis libre et enfin innocenté de ma bêtise !».

 

MAIS PUTAIN VOUS ETES VRAIMENT UN PUTAIN DE BOULET !!! Ca vous arrive d’utiliser votre cerveau, de réfléchir un tant soit peu avant de faire de la merde ??? Visiblement, on ne dirait pas. Vous vous apercevez après votre fantastique achat que vous aviez la possibilité d’acheter uniquement les pièces qui étaient hors d’usage.

 

Je finirais donc ce guide d’utilisateur pour tous par une citation :

« J't’ai cassé »Brice de Nice

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15 avril 2010 4 15 /04 /avril /2010 20:57

run-copie-1.jpgDans la vie, il y a une chose que je n’aime pas admettre : avoir tort. De la fierté mal placée ou bien une preuve indiscutable d’arrogance ? Surement un peu des deux.

 

Tout d’abord, contrairement au fait que certains aiment toujours avoir le dernier mot en imposant leur point de vue, de mon côté, je dirais simplement que je n’aime pas me tromper. Ce qui constitue une énorme différence ! J’ai horreur du sentiment d’injustice, j’aime bien que les choses soient claires et cela certainement parce que je suis compliqué, et de ce fait je n’aime pas me faire marcher dessus sans réelle preuve que je pourrais avoir tort.

 

Dernièrement j’ai agis stupidement pour quelque chose qui me tenais à cœur, et à ma grande habitude : pas de demi-mesure ! Totalement convaincu du bien fondé de ma connerie, j’agis, je fume une clope et continue de me persuader que j’ai eu raison d’agir ainsi. Finalement, je me suis dis que je m’étais peut être un peu trop enflammé et un doute de merde vient narguer mes pensées.

 

Donc… Ouais j’ai eu T.OR.T d’agir ainsi et pourtant je reste inexplicablement camper sur mes positions en me disant qu’importe le chemin que je pouvais emprunter, le résultat aurais surement été le même. Je n’ai trouvé aucune autre solution à mon problème et je reste là, comme au pied de la falaise, de l’autre côté du rivage à regarder ce que je n’ai pas ou plus.

 

Aujourd’hui, j’essaye de comprendre un certain système logique, mais dont le sens premier m’échappe totalement. Je me demande pourquoi les sentiments que l’on éprouve en tant qu’être humain viennent fausser notre façon à raisonner.

 

Essayons-nous de se voiler la face devant notre incapacité à réagir face aux choses qui nous touchent, de fuir nos propres peurs, nos propres problèmes pour ne jamais se confronter face à nos faiblesses les plus dérangeantes ? Ou bien sommes nous tout simplement qu’une sacré bande de trou de cul ?

 

Et je finirais cet article sur un proverbe chinois à la con :

« C’est dans l’adversité que l’on reconnaît ses vrais amis »

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8 avril 2010 4 08 /04 /avril /2010 20:50

batman-version-joker1.jpgC’était ça ! Le temps venait à l’instant de s’arrêter… Toute la scène se déroulait au ralenti. Il n’y avait aucune explication logique  à ça et pourtant, telle « La seconde Windows », une seconde semblait devenir une éternité.


Il n’y avait plus la moindre once de bruit et partout : le vide.


J’étais alors scotch é devant mon écran de pc, entre ne savoir quoi penser de la situation devant laquelle j’étais et le fait, sans aucun rapport, d’avoir déjà prévu ce qui m’arrivait. Le principe du yin et yang : l’échange équivalent ! (dédicace à qui de droit)


Imaginé, à un moment précis de votre vie, une situation toute aussi bonne que mauvaise. D’un côté la lumière d’un rêve, d’un autre l’obscurité la plus profonde d’un cauchemar absurde. Et au milieu de tout ça : un choix complètement paradoxal.


Un goût dégueulasse et familier dans la bouche : l’excès, le surdimensionnement, l’amère réalité ou toute chose à sa place mais où vous ne trouvez plus la votre. Je ne comprends pas, je ne sais plus quoi faire à vrai dire. Accepter mon destin où essayer de le combattre ? Une fois encore je vais devoir faire un choix et un choix n’est jamais sans conséquence.


J’ai fais le choix des ténèbres : de l’égoïsme, de la jalousie, et de la négativité. Le choix qui, plus personnellement, est la voie de la guerre face à moi-même (Si jamais, je vous semble faire le choix : dîtes le moi).

Ok, je sais que cela vous semble mal mais je continue mon chemin et je fais le choix de porté mon fardeau. Le jugement qui me sera porté, j’en ai rien a carré, je fais ce choix incompréhensible que seul les super héros sont en mesure de comprendre. Un bien pour un mal où à tout malheur est bon et si je dois attendre l’heure de la rédemption, alors je le ferais.

Aujourd’hui je choisis la voie des ombres, mais cela ne veut pas dire que je le fais avec plaisir, tant qu’il y aura un brin de lumière, je ne perdrais pas mon objectif et peut être qu’un jour je reviendrais.

En attendant, j’ai encore cassé mon armure, je vais devoir en acheter une autre…


Fais chier !


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22 mars 2010 1 22 /03 /mars /2010 19:16

Untitled-1.jpgSi on m’avait dis que je deviendrai un des parias de l’amour, je me serais bêtement mis à rigoler. Je n’ai jamais été ce que l’on appelle : un homme à femmes. Mon succès auprès des filles fut pendant de très nombreuses années bridé par une barrière invisible, comme enfermé dans une prison de verre, je voyais les filles passer sous mes yeux sans pouvoir réagir. Impossible de les approcher.

Un jour, je me suis réveillé, totalement différent. Tout avait changé, j’étais passé de l’autre côté de la ligne. Libéré de mes chaînes, les ailes libres de toutes contraintes, j’ai alors volé à la conquête des femmes. Surfant dans le vortex des sphères du charme féminin, je pensais être un oiseau dans le ciel, intouchable, et bien au-delà de toutes limites j’avais tort de me moquer des cieux.

Le « vent zéro », autrement dit, ce sentiment qui vous laisse ridicule face à la nature des choses, ce truc super con qui en dit long sur votre clairvoyance et votre sagesse. Cette chose innommable, j’en suis encore désolé…

Ce rêve utopique d’immortalité, d’invincibilité, tout ce mirage éphémère de bien être qui se barre en couille sans aucune raison, qui laisse étrangement votre âme et votre cœur se faire petit à petit dévoré par l’obscurité et faire de vous l’élément obscur de la lumière...

Je suis un EVIL GENIUS… et tout ça… c’est de ma faute !


Mais sachez tous que ceci n’est pas immuable, il n’est jamais trop tard, il ne sera jamais trop tard tant que continuerez de courir après votre lumière intérieure, tout ce qui vous rattache à vous-même et faire de vous la personne que vous êtes, ceci, sera toujours devant vous : N’oubliez jamais qui vous êtes !


Je ne sais pas si un jour je me rachèterais une bonne conduite mais au moins j’essaye.
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16 novembre 2009 1 16 /11 /novembre /2009 15:26

Mais qu’est ce que je fous là… Ca fais 5min que j’ai les pieds vissés sur ce trottoir. Il fait nuit, je me les gèle et j’attends patiemment clope au bec les yeux rivés vers ce foutu bar à la recherche d’un visage familier que je n’ai jamais réellement vu.

Cela aurait pu être tout à fait singulier comme dans n’importe quelle rencontre, sauf que là je me trouve en face de l’entrée d’un sex-shop, à attendre Barbara, le genre de femme qui en effet, on n’oublie pas.

Moi : Salut Barbara, c’est combien ? ^^

B : Et bien on pourrait commencer par boire un verre avant, non ?

Putain, première vanne qui tombe à l’eau, c’est quasiment le cas de le dire vu le temps de merde qui fais sur Nantes. La soirée commence bien… Le Nantes by Night de ce soir s’annonce compliqué.

Moi qui d’habitude me sent à l’aise, j’ai l’impression de vivre l’envers du décor. Mais que font mes supers pouvoirs : c’est pas le moment de me lâcher ! Va falloir m’aider à conclure les mecs !!! Putain quelle merde !

Là je me suis dis : « Il y a sûrement un détail que j’ai du loupé ». Je fais alors le mode pause, je me repasse la scène… BINGO ! C’est là ! Oui c’est là, à ce moment précis que j’avais pas pris part d’un détail qui je ne sais pas pourquoi j’ai loupé ! C’est Barbara GOULD !! La femme qu’on oublie pas ! Mais si !! Regardé, si vous relisez le texte vous verrez que j’y avais fais allusion.

Soirée intéressante, atypique, bizarre, énigmatique, taquine, charmante, et drôle. A la vue du mètre de bière sur la table, une question reste omniprésente (oui encore et toujours des questions : bah quoi vous ne viendrez pas ici par pure divertissement quand même ?). Bref une question chargé d’un sens hors du commun que je n’aurai pas eu le courage de poser me trotte toujours dans la tête : Qui es tu Barbara ?

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26 octobre 2009 1 26 /10 /octobre /2009 03:19
Et voilà, décalage horaire, on gagne une heure de sommeil : COOL !! Ceci n’ayant rien à voir bien sur avec le sujet de cet article, donc bref.

J’entame ma dernière semaine Nantaise direction par la suite à Saint Nazaire pour un retour à la réalité plutôt percutant car après 10 mois à vivre en décalé, j’attaque les 35h de cours par semaine sans vaseline, au taquet dès 8h du matin.

Mais avant ça, je suis en plein dans les cartons de déménagement. En effet, j’anticipe le coup en espérant que l’organisme qui s’occupe de moi pour le logement fasse correctement son travail… ainsi que rapidement son travail. Je me vois mal faire l’aller retour Nantes/St Nazaire tout les jours pendant 3 mois, et perso, financièrement je ne pourrais pas le faire. Donc faut vraiment qu’il me trouve une solution.

Et le délire, c’est que ça continuera ensuite le temps que je me trouve un autre logement sur place quand j’aurais quitté le mien… donc vraiment pas cool.

Hormis ce chaos administratif et mes supers cartons, j’admets qu’il m’est encore difficile de faire le constat que je quitte Nantes pour une ville dortoir… A la limite on me dirai San Fransisco ou New York, là j’avoue que cela aurait été la classe mais là non.

Alors j’essaye tant bien que mal de finir mes « adieux » et cela même si je ne suis qu’à 80km de là. Mais bon, c’est comme si je commençais une nouvelle vie avec un nouvel horizon bien plus grand que ce que j’ai actuellement (enfin j’espère ne pas me craquer en disant ça ^^). La vie dans laquelle j’ai vécu pendant 10 mois me paraîtra bien loin une fois que tout sera « rentré dans l’ordre ». Finis les grasses matinées en semaine, finis les sorties jusqu’à pas d’heures, finis la glande sur le net, les séries et mangas en boucle. Au final, j’ai vraiment la sensation d’avoir perdu la notion de mener une vie « normale ».

Alors c’est clair que pas mal de choses vont me manquer, et j’espère ne rien perdre de tout ça. J’ai plus l’impression de vivre ça comme une perte, un manque à gagner que plutôt une solution alternative à l’ennui professionnel qui « régissait » ma vie.

Mais bon, je vais arrêter de me plaindre car sinon je ne suis pas dans la merde, surtout que cette fois ci, le seul fautif se sera moi donc merde : Je vais pas faire du caca !

Ps : mon perroquet c’est fait la mal, merci de me prévenir si vous le retrouvé dans Nantes, je pense que ce fourbe à du retourner chez le petit chinois qui me l’a vendu.

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23 octobre 2009 5 23 /10 /octobre /2009 03:12

Deuxième brève, toujours rien de comestible au menu.

Après une demi journée super inintéressante à faire mes cartons, j’ai quand même réussis à plutôt pas trop mal négocier mon virage pour ma route nocturne.

Ambiance ninja, sex, doublage merdique et giclée de sang pour un manga qui se tient certainement pour l’époque mais qui ne me marquera pas réellement comme un classic. Enfin pour l’époque j’avoue que c’était plutôt la classe mais bon pas pour moi, car trop moyenne école en japanimation. Alors donc bon, une bonne pizza et un bon pote pour accompagner le tout, puis une bonne commission liquide me fera passer une bonne première partie de soirée.

A ceci près qu’une fois de plus j’avais raison pour dire que Kenshin le film est un pure animé. Manque de pot quand ton interlocuteur te tanne à te dire le contraire, t’es obligé d’utiliser les grands moyens ! Et une fois encore le grand ninja samouraï que je suis, à encore triomphé par sa technique et sa volonté invincible. En effet, je n’ai pas toujours les mêmes références évidentes que tout le monde mais j’ai encore vaincu par la connaissance et des goûts incisifs et percutants.

C’est comme les photos, j’ai souvent du mal à être d’accord avec tout le monde. Tout le monde se contente de trop peu pour ma part. Alors peut être est ce mon coté perfectionniste, mais genre quand les gens ont des sales gueules sur une photo, je leur dis, et j’explique pourquoi. Je ne comprends pourquoi les gens s’acharne à dire qu’une personne est bien dessus alors que non, c’est tout le contraire. Mon ami poète Squatemanus me dis que l’on ne peut comparer les photos les unes aux autres car cela reviendrai à hiérarchiser la chose… Par exemple, le rap serait meilleur que le breakbeat. Mais ça c’est une question de goûts et de couleurs. Après dans chaque chose tout n’est pas forcément bon… La preuve : La Star Académy… En effet, il y a des gens qui adorent ça, mais bon qui a réellement acheté le CD de Magalie Vaé. Qui ça me dites vous ? Non bon allé on laisse tombé. Si t’as une sale gueule sur ta photo, je serais prouvé par A+B que j’ai raison, non pas d’essayer de soumettre mon vis-à-vis à une prise de conscience, mais bien parce que c’est la réalité.

D’ailleurs en parlant de photo, ça tombe extrêmement bien ! Ce soir je flashais une soirée. C'est-à-dire : je prends des photos des gens, des djs, des lieux pour ensuite faire de la pub pour l’évènement sur le net. Bah ce soir, j’étais pas spécialement dans le même timing que les gens. Ambiance très spéciale de la clientèle, et donc absolument pas dans le même délire que les gens. Donc j’avoue que cela m’a très vite gonflé pour faire des photos de la soirée, j’ai fais comme j’ai pu avec ma motivation à l’instant même.

L’anecdote la plus drôle, sera une petite jeunette, une blonde pas trop mal, un peu bourré, en fac de droit et dont je ne me souviens absolument pas de son prénom avec qui je me mets à discuter dehors. Elle me propose de venir dansé… Je vois venir le truc gros comme une maison ! Toi tu veux essayer de me choper ma petite… Mais cela ne va pas le faire. Bah tiens voilà un petit gars bien sympathique qui débarque sur le bas de mes pompes. (Toi viens là petit con ^^). On discute, je refile tout doucement le bébé à mademoiselle, et puis finalement elle ré-insiste, je refuse à nouveau, du coup l’autre gars me dis : allé viens ! tu ne connais personne de toute façon. Bon je dis d’accord, je finis ma bière et je vous rejoins. Le temps de finir ma bière sur le long du dancefloor, tout les deux très chaud bouillant, danse en même temps. La petite blonde me lance des petits yeux doux, mais perso, j’en ai rien à secouer. Finalement, elle jettera son dévolue sur le petit gars qui était avec nous. Le temps de finir ma bière et de discuter avec mon pote qui taf au bar : nettoyage express et profond de la bouche pour ce jeune et charmant couple. Alors d’un côté je me dis : Putain c’est à moi que cela devait revenir ! D’un autre côté je me dis que c’est bien mieux ainsi car j’en ai carrément rien à secouer de sa gueule. « T’es vraiment un salaud punky ! » Mais non je suis plutôt un cupidon des temps modernes ! J’ai la classe, grâce à moi, ils vivront peut être heureux et auront beaucoup d’enfants.

« Punk, t’as vraiment trop la classe ! »

Bah……… Ouais je sais B)

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21 octobre 2009 3 21 /10 /octobre /2009 02:08

Aujourd’hui j’ai investi dans un perroquet ! Ouais l’oiseau qui répète ce que vous dites. Pourquoi un perroquet ? Bah je ne sais pas, certains ont un chien, d’autre un chat, ou encore un poisson, un lapin, etc… Alors pourquoi pas un perroquet?

 

Alors laissez moi vous présenter Jenny, car oui, c’est une femelle. Et c’est là où je me dis que j’aurais du investir dans un mâle, car j’ai limite l’impression de m’être fait enflé sur la marchandise. Le petit gars dans sa supérette me disait : "pas cher ami, perroquet jaune, perroquet très rare !" Ps : Ah oui, le vendeur en question s’était un chinois, mais ce n’était pas Sharivan pour ceux qui me liront et qui pourraient éventuellement faire un amalgame.

 

Selon le propriétaire, c’est un animal drôle, qui fait des trucs bizarres et marrants. Je me suis dis : du moment qu’il me casse pas trop les couilles et me coûte pas trop cher, j’ai rien à perdre.

 

Et en effet, animal de compagnie vraiment très particulier, déjà vois le bordel, il se met à crier « Par le météore de Pégase » toute les deux heures… Vraiment pas pratique pour dormir. Dans le même genre, le vendeur m’a dis que Jenny était très intelligente et qu’elle savait écrire… Et c’était pas des conneries !!! Le perroquet sait écrire! Par contre, il ne met pas les accents. C’est bien un truc de chinois tiens. Autre exemple, Jenny fais quasiment tout ce que tu lui dis, mais des fois tu ne piges pas tout. Alors cela à bien un petit coté drôle, mais par contre, tu ne peux pas lui faire répéter car elle ne répond pas aux questions. A se demander si ce perroquet n’est pas plutôt blonde que jaune… vendu par un chinois, il y a de quoi se poser des questions, non ?

 

Le pire dans tout ça c’est que cet animal restera vraiment étrange, il mange des trucs ultra particulier. Quand tu lis la notice : Animal friand d’huîtres, de graines de tournesol, et fan inconditionnel de Pringles ! Et là je me dis… Putain, mais c’est pas un perroquet que j'ai récupérer là, j’ai du me faire refilé un pure truc « made in China ».

 

Connerie...

 

Maintenant la seule chose qui le calme c’est des soumissions avec des prises de catch...

 

Donc note pour la prochaine fois, ne pas acheter de perroquet, c’est vraiment chiant, ca vous titille non stop sans pouvoir l’expliquer, mais bon en même temps c’est marrant et hormis le remake des chevaliers du zodiaque, mon perroquet je l’apprécie plutôt bien. En espérant qu’il me fasse pas le remake de « Princesse Sarah » (animé au combien à chier).

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20 octobre 2009 2 20 /10 /octobre /2009 03:11

Putain… J’ai envie d’écrire un article, mais l’inspiration me manque cruellement, je ne sais réellement pas de quoi parler ce soir, je tourne en rond. Genre une perte de vitesse flagrante. Pourtant j’ai toujours une idée, un sujet sur lequel parler, mais là je sèche complètement.

Dernièrement j’ai fais une sorte de petit bilan, pour la première fois de ma vie, je suis fier de moi car j’ai bossé pour avoir un truc qui me tenait à cœur, une chose dont le seul facteur crucial était de compté sur moi. Et donc je vais devenir ingénieur et donc c’est plutôt carrément cool ! J'ai vraiment l'impression d'allier l'utile à l'agréable.

Du coup j’ai choisi de faire du tri dans ma vie, dans mes contacts, dans mon réseau social comme on dit en ce moment. J’ai kické du monde de ma liste d’affinités et perso, je m’en porte pas plus mal, rien n’a changé. Les gens à qui je ne parlais pas ne me parlent toujours pas donc tout va bien. D'un autre coté je rencontre quelques nouvelles têtes qui ne sont pas dégueulasse en terme d'apport spirituel (enfin si on peut dire ca ainsi), ca permet vraiment de respirer un bon coup.

J’ai toujours eu la sensation d’être quelqu’un de bête alors que dans le fond j’aurais toujours fournis des efforts pour m’adapter à tout le monde. Bilan des courses, rien d’important à m’apporter, du coup je m’emmerde plus. Objectif : je fais les choses comme bon me semble et j’emmerde le peuple. Ce raisonnement égoïste m’apportera peut être des soucis verbales mais perso je m’en branle : marche ou crève comme dira l’autre.

En tout cas samedi c’est WE KILL PARTY ou l’art d’avoir une bonne soirée sur Nantes en terme de son. Avec des petits gars, des petits frenchies qui se bougent le cul pour nous pondre des mixs qui déboîtent le slip, le tout dans une ambiance conviviale. Une fois de plus, j’espère m’amuser et prendre autant de plaisir à participer à cette soirée que les fois précédentes.

Shake your body girls !

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